Pour lui , il y a ce corps figé
Cet espace de liberté cassé
Et cette âme qui arrose d’envie
Quiconque égaye sa vie
Pour elle, il ya un corps fatigué
Des trop nombreuses armées venues l’ausculter
Ah oui , madame connait l’aisance dans d’atroces souffrances
Et elle palpite en pensée, de sa vie de femme condamnée
Pour l’autre caché derrière, car oui , ils sont colocataires
Il y a sa vie si noire qu’il ne peut se voir pleurer,
cette vie silencieuse où il s’imagine hurler
De ses deux sens il est privé et son corps marche sans se fâcher
Ah, eux trois il faut les voir danser
Dans cet appartement de quelques mètres carrés
Il faut les voir s’extasier juste de cette liberté
Bien sur, ils seront toujours accompagner
Dans cette vie sans escalier, par de gens assermentés
Mais quand on a une trentaine d’année et qu’on se moque des escaliers
On a envie d’assumer d’avoir un chez soi à payer.
Eh toi tu n’oses pas la question et tu fais une drôle d’hésitation
Alors nous on a des réponses à t’apporter pour vaincre,
L’adversité, la méchanceté
La légèreté de la société à ce sujet
L’oisiveté des politiques
Et oui on a besoin de toi
Ou que tu sois
Ou que tu ailles
Quoique tu veuilles
Demande-toi à chacun de tes pas
Pourquoi eux, pourquoi toi , Pourquoi nous et pourquoi pas ,
Ensemble vers une vie chez soi. THandiquoi ?
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